L’humain a transporté nombre d’espèces vivantes à travers le monde, volontairement ou non, notamment par le biais des échanges commerciaux qui s’intensifient, de l’agriculture et des transports. Les changements climatiques modifient également les aires de répartition des organismes vivants. Certaines espèces se dispersent et colonisent de nouveaux milieux hors de leur aire de répartition d’origine et sont parfois envahissantes. Elles y sont considérées comme «exotiques». L’établissement de ces organismes peut s’avérer lourd de conséquences. On retrouve tant d’espèces introduites sur le territoire de l’OBV de la Capitale qu’il est impossible de les présenter toutes ici. Par ailleurs, il est important de considérer que l’éradication de ces espèces étant très difficile, voire impossible lorsqu’elles sont établies, on ne saurait mettre assez l’accent sur l’importance de la prévention et sur le danger potentiel représenté par des espèces invasives qui ne se sont pas encore manifestées. Mentionnons d’ailleurs qu’une voie d’entrée non négligeable sur le territoire est l’aquariophilie et les jardins d’eau (Environnement Canada, 2004).
Les espèces envahissantes sont une grande menace pour la biodiversité du Québec. Elles créent un déséquilibre naturel en faisant concurrence pour l’obtention de ressources nécessaires à la survie des espèces indigènes. Cela peut parfois amener des disparitions d’espèces indigènes au profit d’espèces exotiques. Ces dernières peuvent également dégrader les habitats et les ressources en eau ainsi qu’éroder les sols. Enfin, elles transportent souvent des maladies ou des parasites néfastes aux espèces indigènes. C’est le cas du scolyte européen, un insecte porteur du pathogène responsable de la maladie hollandaise de l’orme (Ophiostoma Ulmii) (Service canadien des forêts, 2010).
Un secteur d’activité économique reposant sur l’exploitation d’une espèce dont les rendements baissent soudainement peut connaître de graves difficultés. Les pourvoyeurs connaissent d’ailleurs des pertes dans les lacs à ombles de fontaine (Salvelinus fontinalis) dues à la compétition occasionnée par la naturalisation de poissons-appâts. De plus, certaines espèces exotiques envahissantes dégradent et endommagent les infrastructures et les coûts associés aux réparations et à la lutte contre ces espèces sont élevés. Des sommes considérables doivent être consacrées, annuellement, pour maintenir ces infrastructures fonctionnelles. La prise d’eau de la Ville de Québec dans le fleuve Saint-Laurent comprend une surface bétonnée qui est un habitat propice à la colonisation de la moule zébrée. Advenant la présence de la moule zébrée, le système de dégel de la prise d’eau a été conçu pour permettre l’injection d’eau chlorée afin de contrôler les moules zébrées (Dreissena polymorpha) et d’éviter un blocage (Gagnon, 2004).
La présence d’espèces exotiques envahissantes a de nombreuses répercussions chez l’homme. En effet, certaines de ces espèces amènent des maladies, telles que le virus du Nil. D’autres sont dangereuses pour la santé. Par exemple, la berce de Caucase (Heracleum mantegazzianum), qui contient des toxines et peut produire des dermatites jusqu’à 48 heures après l’exposition (MSSS, 2011). Enfin, ces espèces peuvent entraîner la réduction d’activités récréatives aquatiques ou terrestres pour des raisons de sécurité.
Lors de la caractérisation de cours d’eau, on observe parfois la présence de poissons exotiques, destinés initialement aux aquariums, aux étangs ornementaux ou aux jardins d’eau. Des poissons rouges, que l’on peut se procurer dans presque toutes les animaleries, ont été observés à plusieurs endroits sur le territoire, et notamment dans le ruisseau du Mont Châtel et dans un plan d’eau du bassin de la rivière du Berger, où l’espèce a été observée en grande quantité, certains atteignant même des proportions impressionnantes.
Le gobie à taches noires est une espèce introduite accidentellement avec les eaux de ballast des navires marchands. Il a été découvert pour la première fois dans le fleuve Saint-Laurent en 1997. On distingue le gobie à taches noires de son homologue, le gobie à nez tubulaire par la tache noire sur la première nageoire dorsale. Le gobie peut nuire aux écosystèmes aquatiques ainsi qu’aux pêches sportives et commerciales. En effet, ce petit poisson benthique se montre très agressif envers les espèces indigènes, en mangeant leurs œufs et leurs jeunes. Prédateur de la moule zébrée (Dreissena polymorpha), il contribue à réintroduire dans la chaîne alimentaire les contaminants accumulés par ces dernières. Enfin, le gobie peut être porteur de la septicémie hémorragique virale, qui peut être transmise aux espèces indigènes et entraîner leur mort (MRNF, 2011a). Le gobie à taches noires est présent dans le fleuve Saint-Laurent, et a même été capturé à la hauteur de Québec (Paradis, 2011). Dans le bassin versant de la rivière Saint-Charles, les campagnes de pêche effectuées entre 1989 et 2003 n’ont relevé aucune capture de l’espèce (Richard, 2011). Le barrage anti-marée Joseph-Samson à l’embouchure de la rivière Saint-Charles a un rôle important en ce qui concerne le ralentissement de la propagation des espèces exotiques envahissantes présentes dans le fleuve mais absentes dans la rivière Saint-Charles. Toutefois en 2008, 2009 et 2010, la Société de la rivière Saint-Charles a capturé le gobie à taches noires dans la rivière Saint-Charles au niveau de la marina Saint-Roch lors de pêches à la bourrole. En 2011, aucune capture de gobie n’a eu lieu (Deschamps, 2012) alors qu’en 2012, la Société de la rivière Saint-Charles a observé un gobie à tâches noires dans un ruisseau sans nom du bassin versant de la rivière du Berger au niveau du parc de l’Escarpement (Auclair, 2012).
Espèce venue d’Europe, la moule zébrée a été répertoriée pour la première fois dans le fleuve Saint-Laurent dans les années 1990. Cette moule est une espèce envahissante très prolifique qui entraîne des conséquences écologiques, économiques et sociales. En raison de sa facilité à se fixer sur presque n’importe quel substrat, la moule zébrée obstrue les systèmes hydrauliques, notamment les prises d’eau potable, et peut ainsi engendrer des problèmes d’approvisionnement en eau. De plus, elle entraîne, petit à petit, la disparition des moules indigène en se fixant sur leur coquille. De cette manière, la moule zébrée empêche les moules indigènes de respirer, de creuser et de se nourrir. Étant donné que chaque moule zébrée peut filtrer jusqu’à un litre d’eau par jour pour se nourrir, cette espèce réduit ainsi la quantité de phytoplancton et de zooplancton disponible pour certains jeunes poissons, les moules indigènes et les autres invertébrés aquatiques. L’action filtrante d’une grande colonie de moules zébrées augmente la transparence de l’eau et favorise le développement de plantes aquatiques à de plus grandes profondeurs (MRNF, 2011b). De petites moules zébrées ont été observées dans l’estuaire de la rivière Beauport. Toutefois, étant donné que le substrat est très meuble, une colonisation importante de moules zébrées dans ce secteur n’est pas probable pour le moment (OBV de la Capitale, 2011a; Blais, 2011). Les moules sont toutefois plus présentes dans l’estuaire de la rivière Saint-Charles, au niveau du bassin Louise. Elles ne semblent toutefois pas progresser en amont du barrage anti-marée Joseph-Samson (Blais, 2011).
En 2010, un poisson tête-de-serpent d’Indonésie (Channa micropeltes) mesurant plus de 50 cm de longueur a été trouvé mort près de l’embouchure de la rivière Saint-Charles. La famille des têtes de serpent compte au moins 29 espèces de poissons et provient de l’Afrique et du sud et de l’est de l’Asie. Ce poisson, très prisé sur les marchés de nourriture asiatique, est vendu sur le marché de l’Amérique du Nord et dans les animaleries (MRNF, 2011c). Tout porte à croire que le poisson tête-de-serpent d’Indonésie aurait été relâché par son propriétaire, mais heureusement cette espèce ne tolère pas la rigueur de l’hiver. Cependant, au moins trois espèces de la même famille ont réussi à s’établir dans quelques états américains où elles représentent une menace pour les populations locales de poissons (MRNF, 2010). Le poisson à tête de serpent du Nord peut survivre dans des températures froides, ce qui rend cette espèce très menaçante puisqu’elle a le potentiel de s’établir dans la majeure partie de l’Amérique du Nord (MRNF, 2011c).
Le Myriophylle à épi est une plante submergée qui croît dans l’herbier aquatique à une profondeur variant entre 0,5 m et 3,5 m. Cette plante, introduite d’Eurasie en 1960, prend racine au fond de l’eau, pousse vers la surface et, une fois qu’elle l’a atteinte, se ramifie abondamment, créant un couvert dense. Le Myriophylle à épis se reproduit rapidement par reproduction végétative et peut envahir un lac à une vitesse impressionnante. Cette espèce exotique envahissante entraîne des pertes au niveau de la biodiversité (altère les sites de fraie dans le cas du touladi (Salvelinus namaycush)) et réduit les activités de villégiature (baignade, navigation) (Godmaire et al., 2006a).
On retrouve le myriophylle à épi dans les lacs Delage, Saint-Charles et Saint-Augustin (Gaudette, 2011; APEL, 2009). Le lac Durand n’est pas colonisé par cette espèce mais plutôt par un de ses proches parents, le Myriophylle blanchissant ou de Sibérie (Myriophyllum exalbescens), une espèce indigène non envahissante (APEL, 2009).
La renouée japonaise ou bambou japonais a été introduite comme plante ornementale et provient de l’Asie. Cette plante est une menace pour la stabilité des écosystèmes de nos rivières. En effet, sa capacité à s’établir sur les sols pauvres et ombragés lui a permis de coloniser rapidement les berges des cours d’eau. Une fois établie, la renouée empêche toutes autres plantes de pousser en sécrétant des toxines et donc, appauvrit la diversité biologique de l’habitat. Ses racines peuvent s’immiscer jusqu’à 2 m de profondeur et 7 m de largeur dans la terre et sa tige peut atteindre 3 m de hauteur dans certaines régions du Québec (BVSM, 2011). On retrouve la renouée japonaise à travers tout le territoire de l’OBV de la Capitale (SENTINELLE, 2015).
Le roseau commun a été importé d’Europe et s’installe surtout le long des fossés de drainage, des cours d’eau et des milieux humides. Les zones envahies par le roseau commun sont souvent denses et impénétrables. Le milieu ainsi transformé n’a que peu de valeur pour la faune et la flore des milieux humides. Occasionnellement, quelques espèces animales aquatiques (rats musqués) mangent les rhizomes. Un envahissement rapide du milieu est favorisé par la propagation à partir de fragments des abondants rhizomes du roseau (Godmaire et al., 2006b). Longtemps cru stérile dans notre climat, le groupe de recherche Phragmites a récemment prouvé que le roseau commun peut produire des graines viables qui produisent des plantules au Québec (Belzile et al., 2009). Le roseau commun s’adapte facilement aux périodes d’inondation et d’assèchement et tolère de grands écarts de température. Par conséquent, cette plante très résistante, tolérante et agressive, se classe parmi les espèces végétales envahissantes les plus difficiles à contrôler (Godmaire et al., 2006b).
Au marais du Nord, on note la présence du roseau commun, utilisé comme élément épurateur. L’adoption de cette technique de polissage dans une installation septique était la seule solution possible selon les connaissances de l’époque, compte tenu de l’achalandage prévu et des conditions physiques du milieu récepteur. Depuis son implantation en 2005, l’étendue du roseau commun est demeurée à l’intérieur du marais épurateur et la plante n’a pas été retrouvée dans d’autres secteurs des marais du Nord. L’Association pour la protection de l’environnement du lac Saint-Charles et des marais du Nord s’assure d’un suivi étroit (Deslongchamps, 2011). On retrouve le roseau commun à travers le territoire de l’OBV de la Capitale (des observations dans les bassins versants des rivières Saint-Charles, du Cap Rouge et la décharge du lac Saint-Augustin sont répertoriées dans la base de données Sentinelle) (SENTINELLE, 2015).
Le butome à ombelle est une plante introduite d’Eurasie en 1897 que l’on retrouve dans les milieux humides, les marais, en bordure des plans d’eau et même sur les plages.
Le butome à ombelle se développe à partir des graines et se multiplie de façon végétative grâce à la production de bulbilles. Le transport par les courants d’eau des semences et des bulbilles favorise la dissémination de l’espèce. Une fois établie, le butome à ombelle peut couvrir plus de 50% de l’aire colonisée sans toutefois trop nuire à la biodiversité (SENTINELLE, 2015).
Cette espèce a été répertoriée un peu partout sur le territoire (dans les bassins versants des rivières Saint-Charles et du Cap Rouge, du ruisseau du Moulin et le secteur de la bordure du fleuve) (SENTINELLE 2015).
Originaire d’Eurasie, la salicaire pourpre a été introduite en 1834 pour être cultivée dans les jardins. Cette plante, qui produit 2,7 millions de graines par plante en une saison, pousse en bordure des étangs, des lacs et cours d’eau, près des fossés et des canaux d’irrigation (MDDEP, 2004). La salicaire s’implante rapidement dans une région et fait compétitions aux plantes indigènes. À long terme elle finit même par les remplacer (Léveillé, 2003). On retrouve la salicaire pourpre à travers le territoire de l’OBV de la Capitale (SENTINELLE, 2015).
La Berce du Caucase a été introduite au Québec dans les années 1990 pour des fins horticoles. La sève de la Berce du Caucase contient des toxines qui occasionnent des lésions cutanées ou des brûlures. Cette plante vivace de la même famille que le panais et la carotte sauvage peut atteindre une taille de 5 m. Elle colonise principalement les milieux humides tels que les berges des cours d’eau et des fossés mais peut également s’établir dans les milieux vagues et les champs agricoles (MDDEP, 2011). La Berce du Caucase a été repérée dans le bassin versant de la rivière Saint-Charles (sous-bassin des rivières Jaune et Lorette) ainsi que dans les bassins versants du ruisseau du Moulin et de la rivière du Cap Rouge (Hubert, 2011; SENTINELLE, 2015; OBV Capitale, 2011b).
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Mis à jour le 27 août 2015